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L’inexécution des obligations d’une partie mène à la résolution du contrat en Italie

Termoli - Italie
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C’est l’hypothèse où le contrat, à la demande ou à l’initiative de la partie exécutante est résolu à cause de la non-exécution des obligations de l’autre partie. On rappelle que, pour un contrat dont les prestations principales sont à exécuter en Italie, la loi italienne (lex loci) est applicable.

L’hypothèse est régulée à l’art. 1453 du Code Civil Italien. Elle répond à la logique juridique et à des raisons de bon sens.  Souvent,  la résolution a lieu à l’amiable ; en cas de conflit, ils vont mieux se prévaloir des services d’un avocat italien, de manière à bien appliquer le droit italien concernant la responsabilité contractuelle.

Il est clair que si une partie a rempli ses obligations, elle attend que l’autre fasse de même; face à l’échec persistant d’une partie, l’autre a deux choix:

  1. exiger l’exécution des obligations de l’autre partie résultant du contrat;
  2. résilier le contrat.

Si, en effet, l’exécution de l’autre partie est encore possible, la partie qui a déjà exécuté aura encore un intérêt à son exécution, mais si l’incapacité persistante lui fait perdre la confiance dans l’autre contractant ou de l’intérêt pour son exception, la partie ayant déjà exécuté peut demander au juge de résilier le contrat.

Cependant, ce pouvoir de choix, n’est pas sans limites. L’article. 1453 établit un principe selon lequel :

Si vous avez demandé l’exécution, vous pouvez toujours demander ensuite la résolution, mais si la résolution a été demandée, alors n’est plus possible d’exiger l’exécution.

Contrairement à ce qui se passe dans les cas de nullité et annulation du contrat, la résolution pour inexécution est possible même si à l’origine, le contrat avait été conclu valablement et était exempt de tout défaut.

Les types de résolution de contrat pour inexécution indiqués par le code sont trois:

La résiliation pour inexécution

Le premier type de résolution est déterminée par l’échec de l’une des parties (qui ne doit avoir peu d’importance, en ce qui concerne l’intérêt, en vertu de l’art 1455 cc.) Dans le cas d’un contrat à prestations correspondantes: dans ce cas, la partie non défaillante  a la possibilité de choisir entre la demande d’exécution ou la résiliation du contrat.

En substance celui qui a rempli ses obligations, en cas de défaillance de l’autre partie, peut mettre judiciairement deux types d’actions différentes: l’une visant à obtenir la satisfaction (voir: l’action pour l’exécution du contrat) ou une autre visant à mettre fin à son contrat avec une demande simultanée de dommages et intérêts.

Il y a également une autre solution: on peut donner un avis par écrit à la partie défaillante de se conformer dans un délai raisonnable (qui ne peut être inférieur à quinze jours, à moins que les parties en conviennent autrement ou à moins que, par la nature du contrat ou selon les usages, cela n’apparaisse un terme moins approprié), une sommation que,  une fois écoulée cette période sans succès, le contrat sera considéré comme définitivement résolu. Au vain de ce délai, le contrat est automatiquement résilié (sans activation supplémentaire par le contractant diligent).

En ce qui concerne les effets, la résolution du contrat pour violation a effet rétroactif entre les parties, à l’exception des contrats à exécutioncontinue ou répétée, à l’égard duquel l’effet de la résolution ne couvre pas les services déjà effectués. Bien qu’il ait été expressément convenu, en outre, la résolution ne porte pas atteinte aux droits acquis par des tiers, sous réserve des effets de la transcription de la demande pour une résolution (cfr. Art. 1458 du Code civil).

Résumons les caractéristiques de l’échec qui conduit à la résolution:

  1. doit être attribuable à une partie;
  2. doit être pertinent.

Sur le deuxième point, en fait, l’art. 1455 cc Il prévoit que:

“”le contrat ne peut pas être résolu si l’échec de l’une des parties a peu d’importance eu égard à l’intérêt del’autre partie”.

La résolution du contrat pour impossibilité d’exécution

Un deuxième type de résolution est que, encore une fois dans les contrats avec des prestations correspondantes, se produit lorsqu’une exécution est devenue impossible (par exemple, l’objet d’une vente a été détruit): Eh bien, dans de telles circonstances, “la partie libérée pour impossibilité d’exécution en raison ne peut pas demander l’examen, et doit retourner la liste qui a déjà reçu, conformément aux règles relatives au recouvrement des montants” (voir art. no. 1463 cc).

Au cas où l’impossibilité n’est que partielle: l’autre partie aura droit à une réduction correspondante de la prestation due par elle, et peut également se retirer du contrat si elle a n’a pas d’intérêt appréciable àl’accomplissement partiel.

Résolution pour excessive pénibilité de l’exécution

Le dernier type de résolution, qui n’est pas applicable aux contrats aléatoires, est régi par les articles 1467 et suivants du Code civil. Le législateur a prévu, à cet effet, que, lorsque le contrat est en cours d’exécution continue ou périodique ou différée, si la performance de l’une des parties est devenue excessivement onéreuse pour la survenance d’événements extraordinaires et imprévisibles, cette partie peut demander la résiliation du contrat, avec les effets prévus à l’art. 1458.  Le Code Civil offre cependant à la partie contre laquelle la résolution est exigée une chance d’éviter la résolution: elle peut offrir de modifier les conditions du contrat.

Jusqu’à présent, nous avons parlé de la résolution judiciaire, mais le contrat peut est très résilié sans intervention judiciaire. Nous avons trois hypothèses:

l’avis de se conformer

(Art. 1454 cc), la partie non défaillante peut donner un avis à l’autre partie demandant l’exécution de ses obligations dans un délai raisonnable, d’au moins 15 jours. Après expiration de ce délai le contrat sera résilié automatiquement sans intervention de décisions judiciaires.

clause de résiliation expresse

(Art. 1456 cc) les parties peuvent convenir qu’un défaut d’une ou plusieurs obligations spécifiques conduira à la résiliation du contrat. La résolution se produit lorsque le créancier déclare à l’autre partie son intention d’invoquer la clause

le terme essentiel

(Art. 1457 cc) si l’obligation n’est pas remplie dans la période considérée essentielle pour une partie, le contrat est résilié de plein droit à l’expiration du terme, à moins que le créancier n’entend renoncer à l’obligation en dépit de l’expiration du terme en donnant un avis à la partie qui n’a pas encore exécuté. Cet avis doit être envoyé sous trois jours après l’expiration du terme.

l’exception de défaut

(Art. 1460 du Code civil) est une forme d’auto-défense privée. Une partie peut refuser de remplir ses obligations si l’autre ne parvient pas à effectuer ou offrir de remplir simultanément son obligation, aumoins que :

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